C’était le début de mon classeur de lecture (suivi des digrammes à suivre).
Avec 180 mots qui s’écrivent comme ils se prononcent et présentés en 2 lettres puis 3, 4, 5 lettres; c’était très progressif.
Bien sûr, j’avais la chance de travailler dans un village où presque tous les enfants parlaient le français, même si cela n’était pas leur langue maternelle.
Quand un élève reconnaissait la plupart des lettres, et avait la fusion syllabique, je faisais un essai avec une première leçon de lecture (mots et images). Ensuite il pouvait commencer le classeur et je notais son prénom et la date sur un tableau à double entrée (au début du classeur).
La lecture de ce classeur se faisait en travail individualisé, mais en période sensible j’acceptais que les passionnés viennent lire une demi ou une page au bureau pendant que les autres faisaient l’écriture ou à côté de moi quand je jouais à des jeux de math. avec un autre élève.
De 2008-2013 tous les grands ont décroché la lecture, avec les 15 pages de digrammes en plus (à suivre). La moitié ont attaqué le tiroir des livres (allant progressivement de 40 à 100 mots).
(j’ajouterai des images aux pages peu fournies, et j’essaierai de chercher des mots de 6 lettres, après avoir scanné mes documents les + intéressants... si Dieu le veut.)
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